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Callo

Un des témoins de son agonie, le colonel Tibodo a déclaré lors du procès de béatification : « J’ai connu Marcel pendant quelques heures seulement, celles qui ont précédé sa mort en mars 1945, un mois et demi avant la libération : il est mort en quelque sorte dans mes bras (…) Si moi, “parpaillot”, qui ai vu des milliers de prisonniers mourir, j’ai été frappé par le regard de Marcel Callo, c’est qu’il y avait en lui quelque chose d’extraordinaire. Ce me fut une révélation : son regard exprimait une conviction profonde qu’il partait vers le bonheur. C’était un acte de foi et d’espérance vers une vie meilleure. (Il) avait un regard de saint. »(La Croix 2023/07/20)

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