les riches 2
2—j’aime les riches et comme le Dieu d’Isaïe je ne souhaite pas que nous les imitions !
Jésus nous invite à admirer une pauvre veuve :« Levant les yeux, Jésus vit ceux qui mettaient leurs offrandes dans le tronc. C'étaient des riches. Il vit aussi une veuve misérable qui y mettait deux petites pièces, et il dit : « Vraiment, je vous le déclare, cette veuve pauvre a mis plus que tous les autres. Car tous ceux-là ont pris sur leur superflu pour mettre dans les offrandes ; mais elle, elle a pris sur sa misère pour mettre tout ce qu'elle avait pour vivre. »Luc 21,1-4
21 Dieu a choisi les pauvres, ………..Il les a choisis, parce qu’en eux l’idéal qu’il avait rêvé pour l’ensemble de l’humanité n’avait cessé d’exister, un idéal de société, égalitaire et fraternelle, sans oppresseurs ni opprimés. Car bien que, frappés, ils ne frappaient pas, et bien que. opprimés, ils n’opprimaient pas (Is 42, 2-3). C’est en eux que se trouvait la semence et la source de l’avenir de l’humanité. Et ce choix s’est fait selon sa justice divine (Is 42, 6). (Carlos Mesters « la mission du peuple qui souffre »P.126
22 La prospérité n'est pas l'accumulation de biens- écrit Tim Jackson économiste auteur de « Prospérité sans croissance »(AE323)
23Quand certains peuples refusent notre développement pour se libérer, comprenons nous ce qui est en jeu?
24 attention aux PuB. Elles nous font désirer ce dont nous n’avons pas besoin et oublier ce qui est important.
25 souvenons nous de « la cité de la joie » ; à Paris (la plus belle ville du monde !!)les touristes sont surpris par la tristesse des visages !
« Voici les découvertes faites au contact du peuple colombien : valeurs d'accueil, de partage entre les gens les plus pauvres (on ne laissera pas seul des orphelins, même si les portions sont déjà très réduites dans la famille) ; une grande capacité d'espérance face aux difficultés de la vie; une grande ingéniosité pour se sortir des pires situations car on ne peut compter sur la société pour le faire ; une grande capacité de travail, une grande soif d'apprendre, et puis aussi une foi spontanée, qui fait partie de la personne, qui est un point de référence pour beaucoup au milieu de toutes leurs difficultés, qui entraîne aussi peut-être vers un certain fatalisme, mais où le " côtoiement " quotidien avec la mort permet d'apprécier d'autant plus les moments de survie. » ( un prêtre français en Colombie)