audace

Les samaritains étaient une population qui provenait d’unions entre les colonisateurs assyriens et les femmes israélites qui n’avaient pas été déportées en Assyrie après la destruction du Royaume du Nord (721 av.J.C.).Au retour d’exil de Babylone (537 av.J.C.) les juifs les avaient exclus du « peuple  élu » et ne leur avait pas permis de prendre part à la reconstruction du Temple en raison de leur origine impure et de leur peu de respect des préceptes de la religion. L’antagonisme entre le Temple de Jérusalem et le centre de culte samaritain  de Garizim était proverbial. La haine entre les deux peuples s’était accrue entre 6 et 9 ap. J.C.,lorsque à la veille de la Pâque, un groupe de samaritains avant répandu dans le temple des os de morts, le rendant ainsi impur et excluant toute célébration. (Pagola P.151

 

Jésus donne en exemple un samaritain ! Quelle audace !

Quelle audace semblable peux-tu  vivre aujourd’hui ?

Quelle audace aides-tu l’Eglise  à vivre actuellement ?

 

samaritains

 Les samaritains étaient une population qui provenait d’unions entre les colonisateurs assyriens et les femmes israélites qui n’avaient pas été déportées en Assyrie après la destruction du Royaume du Nord (721 av.J.C.).Au retour d’exil de Babylone (537 av.J.C.) les juifs les avaient exclus du « peuple  élu » et ne leur avait pas permis de prendre part à la reconstruction du Temple en raison de leur origine impure et de leur peu de respect des préceptes de la religion. L’antagonisme entre le Temple de Jérusalem et le centre de culte samaritain  de Garizim était proverbial. La haine entre les deux peuples s’était accrue entre 6 et 9 ap. J.C.,lorsque à la veille de la Pâque, un groupe de samaritains avant répandu dans le temple des os de morts, le rendant ainsi impur et excluant toute célébration. (Pagola P.151

 

Jésus donne en exemple un samaritain ??Quelle audace !

Quelle audace peux-tu  vivre aujourd’hui ?

Quelle audace aides-tu l’église  à vivre actuellement ?

 

 

royaume

Pour autant que nous puissions le savoir, Jésus n'a jamais eu à l'esprit une stratégie concrète de caractère politique ou religieux pour construire le Royaume de Dieu. Pour lui, l'important est que tous reconnaissent Dieu et « entrent » dans la dynamique de son Royaume. Ce n'est pas une question purement religieuse, mais un engagement aux profondes implications d'ordre politique et social ; l'expression même de « Royaume de Dieu », qu'il a choisie comme symbole central de tout son message et de toute son action, ne laisse pas d'être un terme politique qui ne peut que susciter des attentes chez tous, et aussi une grande méfiance dans l'entourage du gouverneur romain et dans les cercles hérodiens de Tibériade. Le seul Empire reconnu dans le monde méditerranéen, et au-delà, c'était « l'Empire de César ». Que veut suggérer Jésus en annonçant aux gens que le « Royaume de Dieu » arrive³ ?

C'est l'empereur de Rome, avec ses légions, qui établit la paix et impose sa justice au monde entier, en soumettant les peuples à son empire. C'est lui qui leur apporte le bien-être et la sécurité,

1 Bien des chrétiens parlent aujourd’hui de « construire » ou de « bâtir » le Royaume de Dieu. Jésus n’a jamais employé ce langage.

2 Les évangiles traduisent invariablement le terme de « royaume » employé par Jésus par le  mot basileia qui, dans les années 30 n’était utilisé que pour parler de « l’empire » de Rome

 (Pagola « Jésus approche historique »118-119)

 

Admire ce langage réaliste des évangiles. (Cela parlait à tous, mais dans un double sens !)

                        Aujourd’hui cherche une expression qui parlerait autant ?