conflit
« les publicains et les pécheurs venaient tous à Jésus pour l’écouter. Les pharisiens et les scribes récriminaient contre lui :
« Cet homme fait bon accueil aux pécheurs, et il mange avec eux ! » (luc 15,1…)
Admirons ce Jésus, dans un conflit social, presque séculaire, on lui reproche d’être du mauvais côté et Il se justifier en comparant ses opposants à un fils ingrat de Dieu.
« Dans les rares cas où les grands pays se sont unis pour faire pression sur les paradis fiscaux, leurs succès ont été surprenants, comme les récents accords entre la Suisse et des pays tels que le Royaume-Uni et les États-Unis l'ont démontré30. De surcroît, les États-nations peuvent accomplir des progrès véritables en l'absence de coopération internationale. Les gouvernements pourraient, par exemple, modifier le comportement des super riches en augmentant les sanctions pénales à l'encontre des courroies d'évasion fiscale massive, en investissant davantage d'argent dans la répression de la fraude et en se montrant plus désireux de payer pour des informations financières qui pourraient conduire à des condamnations : si le prix de l'aventure financière était la prison, ces riches s'y lanceraient sans doute avec beaucoup moins enthousiasme3 » (Yascha Mounk le peuple contre la démocratie P.319)
Actuellement, dans les conflits sociaux, qui est, comme Jésus, du mauvais coté ?
Et Toi ? Qui devons nous comparer à un fils ingrat de son Dieu ?