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  • mariage

    Marier ou bénir les couples ??

     

    L'Église a toujours réagi par rapport à cette tendance en ménageant des espaces intermédiaires entre l'existence quotidienne des femmes et des hommes et son culte sacramentel : ce sont lesdits « sacramentaux » qui se situent ici, à savoir ces multiples rites de l'eau, de la lumière, etc., et les bénédictions prodiguées à tel ou tel moment de l'année et de la vie. La piété populaire dont ………a trouvé dans cet  espace de larges possibilités de se déployer sous des formes très diverses et toujours inculturées. .(Urgences pastorales  de C.Theobald P.347)

     

    Fançois Pape :

    Ce sacrement ne s’improvise pas. Il est nécessaire de se préparer en tant que fiancés. Il n’est pas suffisant que les fiancés chrétiens se préparent au mariage en atteignant une bonne intégration psychologique, affective, relationnelle et programmatrice, bien que cela soit également nécessaire pour la stabilité de leur union future. Ils doivent également nourrir et accroître progressivement en eux-mêmes cet appel spécifique à se façonner comme des époux chrétiens. Cela signifie cultiver, au sein de la vocation chrétienne, la vocation particulière à devenir des disciples missionnaires en tant qu’époux, des témoins de l’Évangile dans la vie familiale, le travail et la vie sociale, là où le Seigneur les appelle ; la vocation de lui manifester la beauté de leur appartenance et de rendre raison de ce « plus » de vie et d’amour, qu’est l’épiphanie dans le monde de l’espérance chrétienne offerte par le Christ. 26012020 devant la Rote (tribunal du Vatican)

  • prochain

    « Un homme descendait de Jérusalem à Jéricho, et il tomba sur des bandits ;ceux-ci, après l’avoir dépouillé et roué de coups, s’en allèrent, le laissant à moitié mort.
        Par hasard, un prêtre descendait par ce chemin ; il le vit et passa de l’autre côté.
        De même un lévite arriva à cet endroit ;il le vit et passa de l’autre côté.
        Mais un Samaritain, qui était en route, arriva près de lui ;il le vit et fut saisi de compassion.
        Il s’approcha, et pansa ses blessures (
    Luc 10,25…)

    Admire cet homme qui invite à comparer ses contemporains

     

     

    Cela fait plus d'un siècle que les économistes se préoccupent des inégalités. Même si leurs travaux se sont essentiellement développés au cours de l'après-guerre, le sujet ne s'est vraiment imposé qu'au cours du XXIe siècle. Et pour une conclusion sans équivoque : les politiques de lutte contre les inégalités sont nécessaires et essentielles à l'activité économique. ( Alternatives économiques 022022 )

                           

    Compare le comportement de  tes contemporains

    Et Toi ! de qui est-ce que tu te fais réellement le prochain ?

     

     

    « Paul aura tout connu à Éphèse, sinon la misère et l’ abandon '. Il y a couru un danger extrême qui l'a mené aux portes de la mort2 ; il y a souffert dans son corps et constaté sa déchéance physique3 ; il y a été incarcéré4.

    Et, comme si cela ne suffisait pas, il y a éprouvé de si amères désillusions qu'il faillit bien douter de tout5. Menacé dans sa personne et dans son existence même à Éphèse, il a été mis en cause dans son autorité apostolique par les Églises de Galatie, de Phrygie et d'Europe au cours d'une offensive contre-missionnaire de très grande ampleur6. Durant ces mois dramatiques, la crise ne se limita pas à des conflits avec les Juifs et avec les païens d'Éphèse, comme pourraient le faire croire les Actes7 : elle atteignit les Chrétiens eux-mêmes, alors qu'apparaissaient partout divisions et tensions. » Paul de M ?F. Baslez P.213

  • baptiser ou bénir????

    1 baptiser des bébés ou les bénir ?

    347 L'Église a toujours réagi par rapport à cette tendance en ménageant des espaces intermédiaires entre l'existence quotidienne des femmes et des hommes et son culte sacramentel : ce sont lesdits « sacramentaux » qui se situent ici, à savoir ces multiples rites de l'eau, de la lumière, etc., et les bénédictions prodiguées à tel ou tel moment de l'année et de la vie. La piété populaire dont ………a trouvé dans cet  espace de larges possibilités de se déployer sous des formes très diverses et toujours inculturées.

     

    348Quelle proximité entre la naissance d'un enfant et la Nouvelle d'une Bonté radicale toujours nouvelle ! Quelle parenté entre l'enchantement de deux personnes allant vers le mariage et la joie qui vient de l'Évangile !............ Mais peut-on nier que beaucoup de prêtres et acteurs pastoraux se demandent, parfois de manière inquiète, si, dans tel ou tel cas, ils célèbrent réellement un sacrement chrétien qui ne suppose pas seulement une « foi » élémentaire mais une véritable foi christique, aussi fragile qu'elle puisse être.

     

    350 On le perçoit : il faut non seulement beaucoup de sens humain et de vérité dans les relations pour accueillir de: demandes concrètes et proposer ce qui convient aux demandeurs en se donnant une chance d'être entendu et en comptant pour cela sur le travail de l'Esprit saint en autrui. Le discernement sera d'autant plus libre qu'il ne sera pas d'emblée inséré dans l'alternative du tout ou du rien et donc accompagné d'une certaine créativité, y compris dans le domaine des rites à inventer. Les sacrements eux-mêmes sortiront ainsi de la mise en place d'une telle « gradualité » et seront revalorisés  dans leur véritable visée.(Urgences pastorales  de C.Theobald)

     

    352-353 Le baptême est donc le sacrement fondamental de la tradition chrétienne, sacrement du « seuil » ou du « passage » qui fait de nous des « christiens », désormais portés par la foi au Christ Jésus. On pourrait être tenté de le réduire à un rite et aux signes déployés : l'eau versée sur le baptisé (ou sa plongée dans l'eau), son onction avec le saint chrême, l'habit blanc dont il est revêtu et la remise d'un cierge allumé. Ces beaux gestes (fixés par les photographes) renvoient cependant à une conversion, voire à une véritable transformation de la personne qui ne se réfère plus (seulement) à tel ou tel parent ou proche qui l'a autorisée à vivre, mais au Christ Jésus en qui elle croit, se laissant progressivement « configurer » à lui.

    …………. Pour revenir au sacrement du baptême, il ne se réduit pas au moment même de la célébration, mais inaugure un « état » de mutation continuelle et de conversion missionnaire, si admirablement explicité par l'apôtre Paul grâce à l'utilisation de la métaphore du « vêtement » et du langage de la « configuration ». L'immanence du Christ mort et ressuscité dans le baptisé (cf. Ga 2,20 et Rm 6,3-11) trouve son correspondant dans le « vêtement » qu'il devient pour nous — « revêtez le Seigneur Jésus Christ » (Rm 13,14 ; Ga 3,27). Étrange formule, si l'on y réfléchit, car elle dit le désir du baptisé de Lui ressembler toujours davantage et de recevoir de lui la capacité de le redonner aux autres. .(Urgences pastorales  de C.Theobald)