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  • la vie

    Nous constatons donc que le salut, tel qu'on le concevait et l'attendait au temps de Jésus, était fait de deux éléments, l'effusion de l'Esprit Saint et la résurrection générale des morts (en y comprenant la "transfiguration" de ceux qui seraient encore vivants ce jour-là),

    …………d'après le langage du salut tenu par les apôtres dès le début de leur prédication, le premier élément s'est détaché du second et est devenu effectif sitôt Jésus ressuscité. On doit en conclure que le salut est déjà en partie accompli, en évitant toutefois de le diviser, puisque l'Esprit dès maintenant répandu en toute chair est celui-là même, comme Paul l'enseigne, qui a ressuscité Jésus et qui lui unit les croyants, leur donnant déjà part à sa vie éternelle en Dieu. Prenant un point de vue global de la situation ainsi créée, nous comprenons que le salut a été effectivement et définitivement donné à l'humanité par l'acte insécable et irrévocable de Dieu de se réconcilier le monde en ressuscitant Jésus pour répandre son Esprit en toute chair, et ce salut se laisse concevoir comme la présence et l'activité virtuelles du Ressuscité au travail dans le monde pour le transformer et le vivifier en y diffusant l'Esprit de Dieu……………(id.267)

     

    Le salut est déjà en partie accompli quand l’Esprit se répand en nous et autour de nous

    Nous vivons déjà la vie éternelle !!!!!! Elle commence ici, aujourd’hui !!!!

    Cherche  ce qui mérite d’ être éternel aujourd’hui !

  • croire

    « Car le croire anthropologique, que nous avons défini comme l'acte de faire confiance, de se confier, est une sortie de soi vers l'autre, vers quelqu'un d'autre ou quelque chose d'autre, une projection dans au-delà de soi qui n'a pas de limites objectives. Qu'il s'agisse de croire à la personne à qui je parle, à la société qui se construit à travers les relations intersubjectives, à l'histoire qui nous précède et nous suit, qui nous fait et que nous faisons, à l'univers qui nous pénètre et nous soutient, jamais nous n'atteignons l'altérité de l'autre en qui nous ne cessons de nous perdre sans jamais l'atteindre ni cesser de le poursuivre, ou plutôt sans jamais échapper à sa prise qui nous entraîne et nous enchaîne à sa poursuite (J.Moingt « croire au Dieu qui vient »P.121 )

    « Car il s'agit moins pour le chrétien ……..de valider ce que croit le païen, tel qu'il le conçoit, que de l'approuver, lui, de croire à quelque chose dont la vérité lui échappe et le dépasse au point de proclamer de son propre chef qu'il ne sait pas ce à quoi il ne peut pourtant pas s'empêcher de croire « (id.129)

     

    Regarde bien comment ils  sortent d’eux-mêmes ceux qui, autour de toi, croient en quelque chose

    Comment pouvez-vous vous  soutenir plus dans cette foi (anthropologique) ?

     

  • salut 1

    La demande de salut ne s'exprime pas nécessairement ni formellement en termes d'acte de foi ; elle n'a pas besoin d'attester qu'elle croit en Dieu pour se tourner vers lui. L'homme s'adresse à Dieu parce qu'il est en manque de quelque chose, pour lui demander un service, non expressément pour affirmer son existence et exalter sa grandeur, moins encore pour énoncer la connaissance qu'il a de lui — surtout si Dieu se fait trouver sans qu'on ait à le chercher, parce qu'il est déjà là en tant que détenteur et dispensateur de tous les biens dont l'homme a besoin… ;;

     

     

    Si le salut chrétien est, en définitive, Dieu lui-même, qui se fait la béatitude de ceux qui ont cru en lui, et si Dieu ne dévoile sa pleine vérité qu'à la fin des temps, quand la foi s'achèvera en vision, nous pouvons comprendre que l'identité de Dieu et du Christ, d'une part, et la vraie nature du salut, d'autre part, sont deux concepts destinés à se développer et à s'éclairer l'un dans l'autre et l'un par l'autre .( J.Moingt « croire au Dieu qui vient »P.48 )

     

    Regarde: Ils sont nombreux autour de Toi ceux qui cherchent un Salut sans savoir qu’ils cherchent Dieu.

    As-tu assez envie de ce Bonheur que nous  trouvons parfois et que nous trouverons  en plénitude ?