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Roger reflexions - Page 122

  • permis!

    « Des Pharisiens s’avancèrent et, pour lui tendre un piège, ils lui demandaient s’il est permis à un homme de répudier sa femme. (Marc 10,2…)

     

                Admirons cet homme qui ne tombe pas dans le piège du permis et du défendu !

     

     «  Dans certains cas, la valorisation de sa propre dignité et du bien des enfants exige de mettre des limites fermes aux prétentions excessives de l’autre, à une grande injustice, à la violence ou à un manque de respect qui est devenu chronique. Il faut reconnaître qu’« il y a des cas où la séparation est inévitable. Parfois, elle peut devenir moralement nécessaire, lorsque justement, il s’agit de soustraire le conjoint le plus faible, ou les enfants en bas âge, aux blessures les plus graves causées par l’abus et par la violence, par l’avilissement et par l’exploitation, par l’extranéité et par l’indifférence ». Mais on ne peut l’envisager que « comme un remède extrême après que l'on [a] vainement tenté tout ce qui était raisonnablement possible pour l'éviter »  (François, pape, exhortation sur l’amour dans la famille   N°241)

     

    Comment sortons nous du permis/défendu en valorisant la responsabilité personnelle ?

  • souffrances

    Jean lui dit : « Maître, nous avons vu quelqu’un qui chassait les démons en ton nom et nous avons cherché à l’en empêcher parce qu’il ne nous suivait pas. » Mais Jésus dit : « Ne l’empêchez pas, (Marc 9,38)

    Admirons ce Jésus qui fait respecter ceux qui ne le suivent pas

    Quel narcissisme ne serait pas celui du croyant qui, face à l'immense souffrance des créatures, ne voudrait voir dans l'œuvre divine qu'un motif de jubilation, mais jamais entendre son cri de protestation contre ce visage obscur de Dieu ?

    …….. La foi du chrétien n'est pas seulement cantique, mais aussi cri, ainsi que le montrent bien les derniers mots de la Bible. ………..

    comment peut-on lier la souffrance présente dans le monde, celle des innocents, avec l'idée d'un Dieu créateur tout-puissant?

     (. Prenons-nous vraiment au sérieux l'incontournable dialectique de la souffrance qui est propre à la tradition biblique ? Quand j'entends aujourd'hui les métaphores positives d'une prédication où il n'est plus question que de l'amour divin, je me le demande. (Metz memoria passionis P.13,14,17)

    S’il y avait un bon Dieu, disent beaucoup: Comment est-ce qu’ils nous montrent le visage obscur ,déroutant,  de Dieu ?

  • Quel Dieu?

    « il enseignait ses disciples et leur disait : « Le Fils de l’homme va être livré aux mains des hommes ; ils le tueront et, lorsqu’il aura été tué, trois jours après il ressuscitera. »Mais ils ne comprenaient pas cette parole et craignaient de l’interroger. » Marc 9,30-32)

    Admire cette personne qui ne ressemble pas à ce que l’on appelle Dieu!

     

    « si le deuil est pesant et l'angoisse latente, ce temps est aussi propice à une redécouverte d'une vérité de foi fondamentale : celle d'un Dieu qui vient dans le monde présent. Car c'est ici et maintenant, dans ce monde, que nous pouvons le rencontrer - et non pas ailleurs……. Considérer la modernité comme une menace pour la foi, c'est risquer de continuer à révérer le Dieu tout-puissant et rester ainsi dans le paradigme de ceux qui ont déclaré sa mort : ce serait faire jouer Dieu contre la modernité alors que c'est précisément là qu'il nous rejoint, dans nos tâtonnements et dans le dialogue risqué avec des penseurs qui mettent à l'épreuve notre compréhension de lui ….. » (Plaidoyer pour un nouvel engagement chrétien P.68-69)

    Pense à quelques personnes ou groupes qui dérangent la société au risque de leur vie

    Qu’est ce qu’ils te disent du vrai Dieu, serviteur de la vie? sauveur ?

    Qu’est ce que cela t’inspire ?