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Roger reflexions - Page 195

  • la voie du salut Jn 10-11

    Jn 10,39….. ils cherchèrent à l’arrêter…..tu veux retourner là bas ?

    « Jésus, en effet, n'avait pas manqué de tracer à ses disciples une voie de salut,… C'était cependant un salut exigeant, puisque chacun devait vivre dans le souci constant de son frère, ne pas se préoccuper de ses intérêts propres, mais du bien d'autrui, ne pas aimer les autres pour être aimé et servi en retour, mais de façon désintéressée, se dépouiller de toute ambition pour se vouer au service des autres, des plus humbles, de ceux dont il n'y a rien à attendre, même au risque de tout perdre, car il n'y a pas de plus grand amour, disait Jésus en se donnant lui-même en exemple, que de donner sa vie pour ceux qu'on aime. De fait, il se mettait en danger »

    J.Moingt «  l’évangile sauvera l’Eglise » P58-60

     

    Admire cet homme qui s’est mis vraiment en danger.

    Comment es-tu sur la voie du salut ? (avec qui ?)

    Regarde autour de toi ceux qui sont sur la voie du salut, souvent  sans le savoir.

  • aveugle?Jn 9

    à quels moments de ma vie me suis-je senti profondément bien? N'était ce pas précisément dans des situations où le sentiment de gratuité était beaucoup plus fort que le sentiment de possession ? Gratuité de la beauté d'un paysage, du temps partagé avec des personnes aimées, de l'acquisition de connaissances qui m'éclairent soudain sur un sens caché... Cette gratuité-là, loin de m'isoler comme la possession, loin de me rendre étranger aux autres, à la nature, par l'exploitation ou la domination, en m'enfermant dans l'aliénation, me relie au contraire : je trouve pleinement ma place sans que cela empêche quiconque de trouver la sienne. Je suis reconnu sans que cela revienne à nier l'existence d'autrui. Je trouve un sens à ma vie sans que cela exclue d'autres sens possibles pour d'autres êtres humains. (Viveret « la cause humaine »P.177-178)

     

    As-tu les yeux vraiment ouverts ? et notre société ?

    Qui aide ou peut aider à les ouvrir ?

    Avec l’aveugle de l’évangile cherche Qui est-ce qui ouvre les yeux.

  • soif?

    Seigneur, que je n’ai plus soif !(Jn.4,5…)

    «En mars 1846, harcelé par cent "docteurs d'outre-Rhin", [Proudhon] notait déjà dans son Journal : "D'où me vient cette passion de la justice, qui me tourmente, et m'irrite, et m'indigne?... Je ne puis m'en rendre compte. C'est mon Dieu, ma religion, mon tout; et si j'entreprends de la justifier par raison philosophique, je ne le peux pas." Au soir de sa vie, la même interrogation reviendra, lancinante. Dans un inédit d'un grand prix, [...] il confesse que la Justice est une sorte de pari, de "foi", qu'il compare à la "foi en Dieu"» (Pierre haubtmann, La Philosophie sociale de P.-J. Proudhon, Grenoble, Presses universitaires de Grenoble, 1980, p. 178).

                De quoi les gens qui t’entourent ont-ils soif ? et toi ?

                Prends le temps d’y voir le cri de la samaritaine adresseé à Jésus.